Je suis devant «Les Misérables» comme Antonio Salieri dans le film Amadeus, quand il regarde les partitions que lui a apportées Constance Mozart, et qu'il n'a que ce commentaire : «C'est miraculeux».

Je suis devant «Les Misérables» comme devant le plafond de la Chapelle Sixtine peint par Michelangelo, ou devant son David, me demandant comment un être humain a pu réaliser une telle merveille.

Je suis devant «Les Misérables» comme devant un océan de beauté, d'une profondeur et d'une puissance telles, qu'il ne peut qu'inspirer l'humilité et le plus grand respect.

Ma note : 5 / 5